« La peinture de Kijno traduit un appel, la revendication d’un absolu. L’image qu’il produit relève d’une foi pour un dieu inconnu à supposer qu’il existe. Mais l’artiste se définit comme un agnostique positif. Alors peut-être ce signifié de type mystique impose comme une évidence un secret qui demande une initiation. C’est dans la pratique de son art, sa « philosophie de mouvement » que Kijno effectue sa quête initiatique. »
Source : catalogue d’exposition au Musée Paul-Valéry, Sète, 2001.
Les toiles froissées par Kijno sont d’une grande rareté. On a pu contempler à l’Art Fair de Lille cette année une somptueuse toile de cet artiste prêtée par un collectionneur à une institution étatique que les organisateurs de la foire ont pris l’initiative d’inviter.
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